Jean François Derec ©Rire & Chansons

Jean-François Derec

Né(e) le : 11/05/1957

Nom de naissance : Jean-François Dereczynsk

Signe : Taureau

Genre musical : Humoriste français

Biographie Jean-François Derec

Voleur de gâteaux
 
Jean-François Dereczynski de son vrai nom voit le jour le 11 mai 1957 à Grenoble.

D'origine polonaise, le jeune homme passe son enfance dans un paysage entouré des montagnes grenobloises.

Une fois sa maîtrise de physique en poche, Jean-François Derec choisit un chemin totalement différent des sciences.

L’humoriste entame sa carrière en participant aux émissions « Le petit théâtre de Bouvard » puis à « La classe », au début des années 80.


Jean-François Derec au cinéma

Il participe notamment à une publicité dans laquelle il joue un voleur de petits gâteaux. Mais ses talents d’acteur sont également exploités pour le 7ème art.

Le comique joue ainsi dans : « Après la guerre », (1988) de Jean-Loup Hubert, « Le Zèbre », (1992) de Jean Poiret, « Les Misérables », (1995) de Claude Lelouch ou encore « L'homme est une femme comme les autres », (1998) de Jean-Jacques Zilbermann.

C’est ainsi que Laurent Ruquier le remarque et lui propose de rejoindre son émission de radio « On va se gêner » et son show télévisé, « On a tout essayé ».
 

« Le téléphone rose »

Devenant de plus en plus célèbre il écrit et joue son tout premier one man show. Son spectacle se joue à 300 reprises à travers la France.

Son sketch le plus célèbre est sans doute « Le Téléphone Rose » dans lequel il campe un homme qui pour se sentir moins seul passe un coup de fil à une boîte vocale deTéléphone Rose.

Il remonte d’ailleurs sur les planches à l’occasion de « Ma fille travaille à Paris »

Il quitte la « bande » de Laurent Ruquier, du moins à la télévision, pour animer sa propre chronique quotidienne, « Dérec fait son intéressant » sur NT1.
Jean-François Derec continue cependant  de participer à « On va s'gêner » à la radio.

En plus du théâtre, du cinéma et de la radio, Jean-François Derec s’illustre également en littérature notamment dans : « Le jour où j'ai appris que j'étais juif » (2007), qu’il reprend au théâtre deux ans plus tard.