EXTRAITS
La Bajon : Pas du tout Bruno, les pistes elles sont toujours vivantes, j’en n’ai descendu aucune, en plus je ne sais pas tirer. Par contre j’ai fait du ski dessus.
Bruno : Oui c’est ce que je voulais dire.
La Bajon : Le premier jour, j’ai fait du télésiège et arrivée en haut, il y a le monsieur du télé siège qui est venu voir pour dire : « Faut descendre là ! Ça fait huit tours que vous faites. » Attends, à 1 000 balles le forfait pour la semaine, moi je voulais remboursoriser.
Bruno : Rentabiliser.
La Bajon : Non, ça c’est quand t’as plein d’appartements que tu mets en location. D’ailleurs moi j’avais loué un appartement pour ma semaine de ski. Mais je crois qu’on ne s’est pas bien compris avec le proprio, quand j’ai reçu la facture je lui ai dit : « Non mais votre appartement, je veux juste le louer, pas l’acheter. » Le ski c’est comme les yachts faut être millionnaire pour aller dessus.
Bruno : Ou coucher avec.
La Bajon : Bah non, tu ne couches pas avec un yacht ou des skis Bruno, ça fait trop mal, avec les bâtons à la rigueur, mais pas les skis. Et puis coucher avec des millionnaires, ça, je ne fais plus avoir. Parce qu’au ski en boite de nuit, avec la musique à fond, quand il y a un mec qui est venu me parler, j’ai cru qu’il m’a dit « J’ai des millions ! » En faite il avait des morpions. C’est comme ça que j’ai choppé des M&MS.