La Bajon : Ah, non ! C’est un peu court, jeune homme ! On pouvait dire... Oh ! Dieu ! Bien
des choses en somme.
En variant le ton, par exemple. Tenez :
Agressif : Moi, m’sieur, si j’avais un tel emploi,
Il faudrait sur-le-champ qu’on me traite de feignasse.
Amical : Aussi peu de boulot, ça peut se faire en terrasse !
Pour travailler, faites-vous fabriquer un hamac.
Descriptif : C’est un job, c’est une planque, c’est un taf.
Que dis-je, c’est un taf... C’est un boulot pour les nuls !
Curieux : À quoi sert cet endroit où l’on bulle ?
De dortoir, monsieur ? Ou de détournement d’impôts ?
Gracieux : Êtes-vous bon à ce point au bureau ?
Que vous soyez payé sans y mettre les pattes ?
Quand moi, j’ai demandé, on m’a prise pour une psychopathe.
Truculent : Ça, monsieur, lorsque vous travaillez,
Est-ce que l’on peut vous entendre ronfler,
Sans qu’un patron ne crie : « Vous, vous serez viré » ?
Dramatique : Il n’est plus dans le rouge, les jours de paie !
Admiratif : Pour un chômeur, quelle aubaine !
Naïf : Un emploi, quoi ?
Et enfin, Pôle emploi sur ce boulot : Les voilà donc, ces tâches payées par nos retraites.
Même leur crédit détruit, ils n’en rougissent pas, ces traîtres !
Et à la fin de l’emploi, ce sont eux qui touchent !
Humour - la Bajon : La Femme de ménage Poétesse
Le - Par Rire & Chansons.
"Salut tout le monde, j’ai un peu temps pour revenir, il n’y a personne qui déménage cette année. De toute façon les présidents, les déménagements, ce n’est pas leur truc. Par exemple, monsieur Sarkozy, j’ai été impressionnée quand il a quitté l’Élysée : il n’y a pas eu besoin de déménageurs, ses affaires l’ont suivies toutes seules…”