Humour - La Bajon - Mamie Bajon et Manuel Valls :"C’est un peu comme les premiers effets spéciaux cinéma des années 80 : une mauvaise incruste...."

La Bajon : Hey bein Bruno, j’ai réussi à trouvé plus con que vous.
Bruno : Non ?
La Bajon : Si, et le mec il est pire qu’un morpion, parce que même les miens il y a un
moment, ils finissent par me lâcher. Lui on croyait s’en être débarrassé en le refourgant à
l’Espagne, mais même là bas ils n’en ont pas voulu.
Bruno : Mais vous parlez de qui ? Manuel Valls ?
La Bajon : L’ancien premier ministre surexcité, le mec quand tu ne l’invites pas, il vient
quand même, c’est un peu comme les premiers effets spéciaux cinéma des années 80 :
une mauvaise incruste. C’est le truc le plus solide que je n’ai jamais vu, il ne se casse
jamais ! Alors une bonne fois pour toute …
En coeur : Casse-toi pauvre Valls !
Bruno : C’est quand même François Hollande qui l’a fait.
La Bajon : Oui bah moi le matin après avoir fait un truc pareil je tire la chasse. Il a dit la
« France c’est mon pays », hey couillons, c’est parce que tu l’as volé que c’est à toi !
Bruno : C’est peut être juste qu’il aime son métier et qu’il a envie de continuer à le
pratiquer. En plus cet été il va fêter un chiffre rond.
La Bajon : Et c’est juste pour ne plus voir ce mec qu’on veut mettre la retraite à soixante
ans. Pour savoir comment faire, j’ai amené sa photo à mon pressing, même eux ils m’ont
dit qu’ils n’avaient jamais vu une tache aussi tenace.
Bruno : Vous pourriez avoir un peu de respect quand même.
La Bajon : Quel respect vous voulez avoir pour un paillasson ? Aujourd’hui je peux lui
cracher à la gueule, demain je deviens présidente, il viendra me réclamer un deuxième
mollard!
Il faut additionner au moins 200 films de boules pour voir autant de lèche que dans sa
carrière. Le mec tu l’as à tes côtés t’as plus besoin de te laver le cul. Tout sa carrière il
l’aura passée à pomper, ce n’est plus un homme c’est un derrick.
Contrairement à notre première dame que j’appelle Dyson. Parce qu’elle coûte plus cher
que ce qu’elle aspire.
Bruno : Vous allez finir par avoir des problèmes, Mamie Bajon.
La Bajon : Qu’ils viennent me chercher. Du moment qu’on me débarrasse de cette
sangsue et encore une sangsue quand il n’y a plus rien, elle s’arrête de sucer.
Bruno : Enfin il y a bien quelqu’un qui l’aime ?
La Bajon : Oui, pôle emploi. Ils disent que c’est un exemple pour tous les chômeurs. Si
tout le monde avait autant envie que lui d’avoir du boulot, on aurait le plein emploi en
France et même dans les pays autour.
Ha ça toque à la porte. Ho mon dieu c’est la mort. J’ai eu peur, j’ai cru que c’était lui.
Allez bonne fin du monde à tous bande de cons !